**Miel et vin ont souvent été
associés, depuis les textes sumériens et la
Bible, pour symboliser l'abondance et la douceur d'un
âge d'or.
** Mais il était aussi dans la pratique, avec
l'usage très répandue d'un vin
miéllé, le mulsum des romains ou
l'oinomélie des grecs. Il s'agissait d'une
surchaptellisation avant la lettre: on mélangeait du
moût avec 1/4 ou 1/5 de miel, qui permettait à
la fois l'augmentation de l'alcool et l'adoucissement de la
saveur
** Le témoin olfactif du miel est obtenu par
la combinaison des dérivés de la
quinoléïne avec de l'acide
phénylacétique et de ses esters.
** Le parfum de miel orne de façon splendide
les vins blancs de grande classe quand ils atteignent un
veillissement avancé.
** Les sauterne, Barzac, Monbazillac et Bergerac,
moelleux en sont largement dotés, de même que
le Quart de Chaume, mais aussi le Montrachet, les crus de
Meursault et le Corton blanc, quand ils sont assez
gras.
** Il
caractérise aussi les vins de Savoie, où il
s'associe à la noisette ou à la violette: le
Marestel, le Digny.
EXEMPLE de NOTES de
DEGUSTATIONS: