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de la justesse des opinions de M Bonnet à cet égard. Mes recherches apporteront sans doute de nombreuses modifications aux idées que l'on se faisoit de son tems sur l'art avec lequel ces insectes construisent leurs rayons; mais elles contribueront j'espère à étayer une théorie bien différente de celle de l'éloquent historien des animaux. N.B. Des mathématiciens modernes, fort habiles, se sont aussi exercés sur le minimum de cire des alvéoles; mais leur conclusion sont bien différentes de celles de leurs devanciers. La note suivante, tirée des papiers de Mr G.L. Le Sage, de Genève, indique les progrès que l'on a fait dans cette recherche. ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ (*) M. Koenig croyoit que les abeilles devoient donner aux rhombes de leurs cellules 109°16' et 70°34' pour y employer le moins de cire possible (Réaumur, T.V, M. VIII). M. Cramer, ancien professeur de Genève, auquel M. Koenig avoit proposé le même problème, a trouvé que ces angles devaient être 109° 28 1/2' et 70°31 1/2' (Voyez la note 1re). Ce résultat est le même que celui du père Boscovisch, qui remarque que Maraldi avoit Tome II |
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