ployer d'autres moyens pour parvenir à savoir si la cire était une véritable sécrétion, ou si elle provenait d'une récolte particulière.

En supposant qu'elle fût une sécrétion, nous devions d'abord vérifier l'opinion de Réaumur, qui conjucteroit qu'elle était due à l'élaboration du pollen dans le corps des abeilles, quoique nous crussions pas comme cet auteur, qu'elle en sortit par leur bouche. Nous n'étions pas plus portés à lui attribuer l'origine qui lui prête; car nous avions été frappés, comme Hunter, de ce que les essaims placés nouvellement dans les ruches vides, n'apportaient point de pollen et construisaient néanmoins des gâteaux; tandis que les abeilles des veilles ruches, qui n'avoient pas à bâtir de nouvelles cellules, en faisaient une abondante récolte.

Il est fort singulier que Réaumur, à qui cette observation avait point échappé, n'ait pas senti combien elle était peu favorable à l'opinion commune; cepen-

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