le sucre et la partie sucrée du miel mettent les abeilles qui s'en nourrissent en état de produire de la cire, propriété que la poussière fécondantes ne possèdent nullement.

Les vérités que ces expériences nous avaient apprises, reçurent bientôt une confirmation plus générale. Quoiqu'il ne restât aucune incertitude sur ces questions, il fallait s'assurer que les abeilles, en état de nature, se conduisaient comme celles que nous avions tenues en captivité: une longue suite d'observations que nous ne donneront ici qu'un aperçu, nous prouvèrent que lorsque la campagne offre aux abeilles une grande récolte de miel, les ouvrières des veilles ruches l'emmagasinent avec empressement, tandis que celles des nouveaux essaims la convertissent en cire.

Je n'avais pas alors un grand nombre de ruches; mais celles de mes voisins villageois, pour la plupart, me servirent d'objet de comparaison, quoiqu'elles fussent construites en paille, et n'offrissent

A SUIVRE ....

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